UN hôtel où chaque saison
peint sa romance colorée
En plein cœur de Megève, au bout de la rue piétonne et à deux pas des remontées mécaniques, l’hôtel Saint-Georges, un chalet historique, s’éveille à nouveau. Ses murs portent la trace des hivers passés, ses rideaux épais et ses fauteuils enveloppants évoquent un décor de théâtre, et ses fresques murales semblent convoquer des légendes oubliées.
L’hôtel Saint-Georges mêle le charme savoyard à la fantaisie d’un salon de campagne anglais. Imaginés par l’artiste et designer Luke Edward Hall, les intérieurs reflètent son amour pour les récits, la nature et les merveilles du folklore. L’atmosphère du lieu s’inspire autant des mythes alpins que des aventures rêvées de Luke.
Les étoffes chantent, les objets conversent, et les chambres flottent quelque part entre un songe éveillé et un livre d’images oublié. Ici, le temps suit le rythme des saisons : balcons givrés, lumière dorée sur les terrasses, feu qui vacille à la nuit tombée. Une maison imaginée comme un roman, où la montagne devient décor, et le séjour, une histoire.
Le restaurant Le Trappeur fait vibrer les soirs d’hiver comme les déjeuners ensoleillés, le bar s’anime au son des conversations et des éclats de fête, et le spa offre une parenthèse apaisée.
Les chambres :
Dormir comme dans un conte
Sous les toits, les poutres projettent de douces ombres et les papiers peints évoquent des forêts imaginaires. Chaque chambre s’ouvre comme une parenthèse colorée : tissus Pierre Frey, têtes de lit vives, salles de bain au style affirmé. Le confort se fait cosy, certaines chambres sont climatisées, toutes prolongées par un balcon pouvant offrir une vue imprenable sur le clocher. Ici, les nuits sont paisibles et les matins lumineux.
Restaurant Le Trappeur
Dans une salle aux murs boisés, les plats fument et les conversations s’animent. L’esprit est celui d’un bistrot intemporel, avec ses nappes à carreaux et sa vaisselle chinée. Convivialité, authenticité, élégance… la cuisine se savoure autour de grandes tablées. À la carte : de belles pièces de bœuf grillées, une purée onctueuse, et des assiettes généreuses qui réchauffent les soirées comme les déjeuners ensoleillés.
Aux murs, des gravures alpines et des portraits anciens semblent sourire aux festins qui se prolongent au coin du feu.
Ici, on vient autant pour partager un repas que pour profiter de l’atmosphère : chaleureuse, vivante, familière et élégante. Les assiettes circulent, les verres s’entrechoquent, les rires se répondent. Le Trappeur est une table où l’on se retrouve et où l’on savoure l’instant.
piano bar, salon du soir
Des rideaux épais, des fauteuils aux courbes accueillantes, une lumière tamisée : le bar apparaît comme un décor peint.
L’après-midi, il se fait coin salon, où l’on profite d’un tea-time au coin de la cheminée, lové dans un canapé confortable, à l’abri de l’agitation.
Le soir venu, l’ambiance change : derrière le comptoir, les gestes sont précis, presque chorégraphiés — des verres, un shaker, un zeste, un silence. Puis la musique s’invite, un piano qui s’éveille ou un live improvisé, et le lieu prend des accents plus festifs.
Un espace qui vit au rythme de la journée, entre douceur feutrée et soirées animées.